Carney doit protéger le système de santé public et l’empêcher de tomber sous l’influence de Trump
Le premier ministre Mark Carney a rencontré le président américain Donald Trump lundi 17 juin, en Alberta lors du sommet du G7. Leur rencontre intervient à un moment où l’influence des États-Unis sur le système de santé public canadien suscite de plus en plus d’inquiétudes, notamment en raison du lobbying des grandes entreprises pharmaceutiques américaines, et la pression croissante en faveur de la privatisation.
Le bilan politique de Trump, ses commentaires répétés sur la possibilité de faire du Canada le 51e État américain, et que les Canadiens auraient de meilleurs soins de santé sous contrôle américain a renforcé les inquiétudes concernant l’ingérence croissante des États-Unis dans le système de l’assurance santé canadien.
Carney et Trump ont convenu de conclure un nouvel accord dans les 30 prochains jours, donc autour de 17 juillet. Cela signifie que des décisions importantes sont en train d’être prises en ce moment même. Si le système de santé public est sur la table, les Canadiens disposent d’un délai très court pour réagir avant qu’il ne soit trop tard.
Faites entendre votre voix, demandez au premier ministre Carney d’agir
Les Canadiens ont encore le pouvoir de riposter.
La Coalition canadienne de la santé a lancé une campagne par courriel appelant les Canadiens à exhorter le premier ministre Carney de rejeter les pressions exercées par Trump et les grandes sociétés pharmaceutiques américaines.
Nous demandons au premier ministre Carney de :
- Lutter contre les efforts déployés par Trump et les lobbyistes américains pour affaiblir le système de santé public canadien
- Protéger les Canadiens contre la hausse des coûts des médicaments imposée par les grandes sociétés pharmaceutiques
- Renforcer les programmes publics essentiels tels que l’assurance-médicaments et les soins dentaires
Nous avons déjà rédigé le message. Il vous suffit de remplir le formulaire ci-dessous pour ajouter votre nom.
Ensemble, nous pouvons montrer que les soins de santé publics ne sont pas à vendre.


